1. |
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FUE TAN VELOZ
ARRASÓ EN UN MOMENTO
MENOS DEL NECESARIO
A LA BOCA PARA UN BESO
PARÓ EL RELOJ
SE DETUVO EL TIEMPO
SE PACTÓ EL INFIERNO
NECESITAMOS HABLAR DE LXS MUERTXS
DAR VOZ AL CEMENTERIO
NECESITAMOS HABLAR DE LXS MUERTXS
ES TIEMPO YA
DE CONQUISTAR ESA DEUDA
QUE APLAZÓ LA VIDA
SEPULTÓ EN LA TIERRA EL MIEDO
EL DESHONOR
DE LXS QUE HAN VIVIDO
Y GUARDAN SILENCIO
NECESITAMOS HABLAR DE LOS MUERTXS
DAR VOZ AL CEMENTERIO
NECESITAMOS HABLAR DE LXS MUERTXS
PARA ROMPER EL CERCO
*Inspirado en S.I. Ubargoyen y otrxs autorxs del desastre.
---
TALK ABOUT THE DEAD
IT WAS SO FAST
IT DESTROYED ALL IN A MOMENT
LESS THAN THE NECESSARY TO THE LIPS FOR A KISS
THE CLOCK STOPPED, TIME WAS HALTED
HELL WAS AGREED
WE NEED TO TALK ABOUT THE DEAD
GIVE VOICE TO THE CEMETERY
WE NEED TO TALK ABOUT THE DEAD
NOW IT'S TIME TO CONQUER THAT DEBT
THAT POSTPONED LIFE
AND BURIED FEAR AND SHAME UNDERGROUND
OF THOSE WHO LIVED
AND REMAIN SILENT
WE NEED TO TALK ABOUT THE DEAD
GIVE VOICE TO THE CEMETERY
WE NEED TO TALK ABOUT THE DEAD
TO BREAK THE SIEGE
*Inspired by S.I. Ubargoyen and other authors of disaster.
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2. |
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El sindicato de los pobres
ha decidido
Si con cuatro duros
somos ricos.
De esto viven los socialistas
La UGT y comisiones pseudobreras
De currantes con smoking
Y carteras medio llenas.
[Os han comprado
Os han vendido
Y ni habéis mirado
Vuestro precio o destino]
Y así nos va.
Sociatas vendiendo bombas
Diciendo que no pasa na
Que son españolas, joder
Si total no van a funcionar.
Que paguen los saudíes
El resto callen y a votar
Así son estos mierdas
Que os van a representar.
Qué más da, qué más da.
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3. |
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4. |
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Ces passions soudaines des contrées lointaines
cultures éloignées et tant de richesses pillées
croyances, totems, des peuples indigènes
villages massacrés, pour seulement quelques trophées
porter les parures de ceux dont on ne connaît rien
croire que leur monde est un jeu, du sang sur les mains
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5. |
Billy Club - Birusa
02:38
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Etxean sarturik nagoela
egoera honek pentsatzera narama
aspertuta, nazkatuta
zuen gezurrak entzuteaz
Kapitalak sortutako
guda, biologikoa
diruaren pean, interes zikinak
non daude langileen eskubideak?
Politiko faltsuen erantzule
poliziaren bortizkeria
militarrak hiria garbitzen
okupazioaren seinale?
Birusa kapitala da (Kapitala da)
Birusa kapitala da (Kapitala da)
Birusa zu zara
Birusa kapitala da
birusa kapitala da
birusa zu zara
Pentsionisten borroka suntsitzen
duzuen heinean
gure aiton-amonen bizitza
arriskuan jartzen duzue
Konturatu gabe etxeko gizonak,
mozorroa kendu du
eta berriro ere matxismoa erantzule
emakumea sufritzen
Egia egi, bihurtuz
telebistan entzundakoa sinisten al duzu?
bizitzaren zentzua ulertuz
sistema honekin bukatuko dugu
Birusa kapitala da (Kapitala da)
Birusa kapitala da (Kapitala da)
Birusa zu zara
Birusa kapitala da
birusa kapitala da
birusa zu zara
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6. |
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Il y a au départ ce mensonge, que l'on a trop souvent entendu, dont nous nous sommes défendu et que nous avons pourtant étonnement fait nôtre : « On ne peut plus rien faire à présent, tout est déjà perdu, qu'y a-t-il à attendre maintenant » ? Tout justement, nous ne sommes plus jamais tout à fait seul, vraiment. Voilà peut-être même le secret des vivants, ceux qui vibrent, qui sentent, sont traversés par les vents. C'est marre du noir, des chants inconsolables qui crient au désespoir, qui glacent et paralysent. Il faut des mots qui disent notre joie imbattable, celle qui fait lâcher prise et brûle dans nos regards. « Qu'importe où nous allons, honnêtement. Je ne le cache pas […] Qu'importe ce qu'il y a au bout. Ce qui vaut, ce qui restera. »
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7. |
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///FR
SOUS SILENCE
Une nuit de chien
Des coups dans la tête
Passée sous silence, cette boule me glace le sang
J’ai pris le train de cette époque funeste
M'emmenant au spectacle de ceux qui en crèvent
Dans la tendance des maux heureux
Pour combien de temps mes démons seront des dieux
Faites qu’on libère de la place aux aveux
Des jours dont la peine me garde en sursis
Je pense aux moyens pour amortir les coups
Au respect qui révèle le sens des mots
Si seulement nous laissions pleurer
///EN
SILENCE
A dog’s night
Punches in the head
Never mentioned, anxiety makes my blood run cold
I took the train of these gruesome times
Taking me to the spectacle of those who die
When the trend is to happy pains
How long will my demons be gods
Let room be made for confessions
Days whose sorrow keeps me on the edge
I think of ways to soften the blows
Of the respect that reveals the true meaning of words
If only we let it cry
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8. |
Cookies - No future
02:12
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9. |
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10. |
Cuir - Cagoule rose
01:44
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Samedi aprèm il est tard , j'm'en suis mis une bonne
J'sors à peine du plumard , j'suis vaseux comme personne
Dans l'portefeuille, j'regarde si j'trouve les marques d'une nuit d'ivresse
Je checke: Horaires, montants inscrits sur les tickets d'caisse
Pas l'temps de m'remettre, y'a mon phone qui sonne
Sms de rencard , j'en reçois des tonnes.
Direction l'rade, fallait qu'ça recommence
Alors c'est parti pour l'deuxième round
C'est pas aujourd'hui, qu' j'vais jeter l'éponge
C'est une vraie machine qui s'cache derrière la cagoule rose
À moitié imbibé avant même d'arriver
Ce soir j'suis déchaîné, Impossible à coucher
Enfin, c'est c'que j'croyais
Mais la donne change après 4h au troquet
Trop de shots de whisky, bu en quelques secondes
Et j'finis au tapis sans avoir entendu l'gong
X2
Aujourd'hui, je jette l'éponge
Y'a plus rien qui s'passe, dépasse de la cagoule rose
Complètement cramé quand j'me suis barré
Putain c'est à quatre pattes que j'suis parti me coucher
Nan y'a plus rien qui s'passe, dépasse de la cagoule rose
Nan y'a plus rien qui s'passe, vraie métamorphose
X2
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11. |
Desarme - Dulcinea
02:42
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12. |
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13. |
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I often wonder why this world is sinking
Like a drunk ship full of shitheads
Ch : And My dear Country, so proud (X2)
It sucks our blood until the last breath
And the misfits are left for dead
Greedy bastards with Wealth obsession
Corrupted kings who breed chaos
With their (too) cold hands to share it
We are the only ones to pay the price
Abandon, Misery, rejection !!!
We work like dogs to earn matches,
Hearing Elite declare “All is Great here !”
Hahaha Are you kidding me ?
Refugees come here ‘cos the grass is green ?
Dying on boats like Rotten fishes,
Landing on Hostile nations
Ch : And my dear Country, so proud
So much efforts to end in a box
Without feeling like to achieve something
Compare to ants among giants
Our pain is useless, our name an anecdote
I will die for you, fucking damned Misery !!
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14. |
Glen Football - Martyr
02:04
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15. |
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We are the kings • The kings of nothing. An internal writhing • Average people in an average world • Where most interactions are cold • A fight against anxiety • Even love becomes violence • It’s a venom with high toxicity • We feel alone in this obedience • Lost, we’re in pieces • Our brains should be burned to ashes • Some say It’s just a matter of scale but you can’t control the wind when you sail • Noxious environments change our mood • We could be like red riding hood • A frail mind into the dark led by the sound of skylarks • Maybe we are stronger than we think we are • Hear the lion inside us roar • Our weaknesses turn into strengths • We were in pain, we had so much pain, from our stance •
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16. |
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No t'esperaves trobar-t'hi al mig,
el món s'ofega i no saps
com sortir d'aquí.
Qui va dir que això no va amb mi? impossible fugir.
Viure o morir.
Bèsties que criden, les fem patir,
boscos que cremen i avui
l'infern ja és aquí.
Qui va dir que això no va amb mi, impossible fugir.
Viure o morir.
Il·lumina la nit un estel de foc, i una llança clavada en el seu honor, i una guspira que incendia el món i les falses banderes són cendra i pols.
Qui va dir que això no va amb mi, impossible fugir.
Viure o morir.
Il·lumina la nit un estel de foc, i una llança clavada en el seu honor, i una guspira que incendia el món i les falses banderes són cendra i pols.
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17. |
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Aussi loin que je me souvienne, mes premiers moments d’adulte ne m’ont pas laissé que de la fierté. Au milieu des vanités reproduites au prix de nombreux cernes, j’ai dû apprendre dans et par l’urgence, dans la fonction sociale de l’exclusion rituelle. Les stigmates de l’accoutumance restent. La prétention à vouloir régir la vie des captifs empêche l’institution de rougir du totalitarisme des asiles. Les rapports au travail et au temps sont façonnés. Les seuls moments d’amour et de vacarme sont clandestins. L’héritage des années vides se compte en heures sur un divan, en pages blanches dans mon carnet d’adresse, en esquisses inachevées. Je me suis même retrouvé incapable de justifier mon existence, tant l’insignifiance de mes appétits était palpable. La supercherie ne s’est arrêtée qu’avec l’expérimentation de l’inutile, de l’absurde jusqu’à overdose. Dans le consentement aux bullshit jobs la dignité agonise léthargiquement dans le futile. J’ai peur d’être rien, moins que rien. Même si l’introspection enferme, j’ai abdiqué, organisé ma délivrance par l’abandon des auréoles, par la quête de sens dans les chemins de croix, par la désertion. Je ne me suis jamais senti aussi vivant qu’au fond du gouffre. La liberté commence là où s’arrête le travail déterminé par la nécessité. On broie par instinct ce qui nous échappe même si le pire est à venir, Même si le champ des possibles est stérile, l’utopie change de camp.
|
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18. |
Herdoil - Atera ezinean
04:51
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[Eus]
Ez dakizu zer egin, ez dakizu zer aldatu,
Ez dakizu nola egin, gau luzeetan ez galtzeko
Ipuinaren hasieran
Dena polita guztiontzat
Gazta jan du arratoiak
Oraingoan, tranparik ez
Gozamen infinituaren inmentsitatean murgilduta
Gezurrezko izaerak, udako elurretan hoztuta
ZURRUNBILO BELTZ BATEAN
SARTUTA DAGO JENDE ASKO
HORTIK ATERA EZINEAN
BERRIZ ERREPIKATZEKO ASMOZ
BEHINGOZ KONTURA GAITEZEN
AUKERA BAKARRA DUGULA
SALTZEN DIZKIGUTEN BIZIOEK
EZ DIGUTE EMANGO ZORIONA
Abstrakzioa, distortsioa
Zutaz jabetzen den pozoia
Elikatzen gaituzten pizti basatiak… EZKUTUAN!
Egun guztiak berdinak dira
edo berdina zara zu egun guzietan?
ZURRUNBILO BELTZ BATEAN…
[Cas]
No sabes qué hacer, no sabes qué cambiar,
No sabes cómo hacerlo, para no perderte en las largas noches
Al principio del cuento
Todo bonito para todas
El ratón ha comido el queso
Esta vez no hay trampa
EN UN NEGRO TORBELLINO
ESTÁ METIDA MUCHA GENTE
SIN PODER SALIR DE ALLÍ
CON INTENCIÓN DE REPETIR OTRA VEZ
DÉMONOS CUENTA DE UNA VEZ
QUE TENEMOS UNA ÚNICA OPCIÓN
LOS VICIOS QUE NOS VENDEN
NO VAN A DARNOS LA FELICIDAD
Abstracción, distorsión,
Veneno que se apodera de nosotras
Bestias salvajes que nos alimentan… ¡Escondidas!
Todos los días son iguales
¿O tú eres igual todos los días?
EN UN NEGRO TORBELLINO…
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19. |
||||
You were called for a revolution that you don’t understand,
your fucking words are aimed and ready to shoot again.
On the TV, on the radio, you won't find out anything.
Are you ready for the fight? Are you ready for real life?
Say no!
It’s my life, it’s my decision, I’m sure of myself.
Say no!
I’m not gonna play with death anymore.
You were called for a revolution that you don’t understand,
I don’t want to be a soldier, I’m not a clockwork man.
I’m not a servant of my country, get it right!
I’m not ready; I’m not willing to fight with death!
Say no!
It’s my life, it’s my decision, I’m sure of myself.
Say no!
I’m not gonna play with death anymore.
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20. |
||||
Je regarde l’horloge qui tourne,
D’habitude j’aurai couru après mon retard,
Après tout quitte à arriver tard,
Autant profiter du temps qui passe.
L’hiver a encerclé mes bras
Et la nuit a entachée mes draps,
Un siècle encore à tenir là,
Pour une nuit passée avec toi.
J’observe la montre de mon voisin,
Par la fenêtre je vois sa vie,
Ses vas et vient et ses fausses manies,
Sa famille, ses amis, j’en oublie les miens.
« L’ennui » porte si bien son nom,
La nuit et la pluie lui ressemble,
On se découvre des passions quand on tourne en rond.
La nuit et la pluie s’assemblent,
La nuit et la pluie se ressemblent.
L’hiver a encerclé mes bras
Et la nuit a entachée mes draps,
Un siècle encore à tenir là,
Pour une nuit passée avec toi.
L’automne a enfermé ma joie,
Si seulement je pouvais retrouver
Une nostalgie, un bout de passé.
C’est encore plus dur sans toi.
C’est encore plus dur sans ça.
Ces deux triste saisons sans toi.
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21. |
||||
Egin ihes beste norabait,
Inor ez duk hi ulertzeko gai.
Gela ilun honetan negu hotzak isolatuta
Pasa izanak ez du esan nahi guda amaitu denik.
Lizitatzailearekin egindako tratuagatik,
Armak hartu ta frontera itzuliko haiz berriz.
Epe luzean kotizatu den hire lepoari
Prezioa igo dioten unean,
Baturik txanpon beraren bi alde.
Beste kontu-garbiketa zikin bat historialerako,
Pobrearen etxean zoriona beti baidek gutxirako
Ajolik ez du, galtzeko ez ezer asko
Matematikarik ez diat behar nire lanerako.
Zori-txarra ghettotik ihes,
Bi zauritu.
Bilatu & Suntsitu.
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22. |
LN-VR - Vivre libre
02:25
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---- Couplet 1 ----
Bouquiner du polar, c'est pas mon rythme
Café Honduras, comme Marguerite
Lire, c’est bien mais vivre c’est mieux
L’un rend libre, et l’autre hideux
Écrire sa vie sous forme d’un manifeste
Combler ses défauts en un seul geste
Jeter des lignes de textes
De la cime à l'apex, hum c'est qu'une démo : un pré-texte
Gonflette poétique
Trop de mots, on comprends pas
Quand t’as faim
Tu manges-tes phrases
Ta forme inédite
En bouche, exprime-toi
T'as l'esprit sain
Dans un Coffrage
Gaffe à ta ligne
Elle pèse et publie sur les réseaux
Apparence marketing
Taillée au kilo
Glace : pour se regarder
C'est le canard sista
Pour la sœurette
// REFRAIN //
** Vivre **
Dentifrice Gluten-Free
** Libre **
Feux d'Artifice Hybride
** Vivre Vivre Libre **
** Vibre **
Café Déca Aspartame
** Libre **
Bière Local Sans Alcool
** Vivre Vivre Libre **
---- Couplet 2 ----
J’écris surtout des mythes
Dommage pour les prolos
Dicté par le fric
En quête d’Eldorado
Mon but : remplir la caisse
Chercheur d'or en quête-ah
Comme un chef d'orchestre, hum check
Lâche à la banque un prêt cédant tes terres
Grince les dents tension sur cette déter
Regard de travers
Au fond derrière l’emprunt
Garde un goût plutôt amer
Prends ton temps
trouve l’équilibre
Gagne de l'argent
Mais garde du temps pour le dépenser
Vision désuet
Écoute la raison Du banquier
Problème dans la caisse : la courroie
Rattrape le retard ou le coupable
Comme un bouffon, dans la cour du roi
Je tue le hasard à la courte paiiiiille
Byyyyyye
// REFRAIN //
** Vivre **
Dentifrice Gluten-Free
** Libre **
Feux d'Artifice Hybride
** Vivre Vivre Libre **
** Vibre **
Café Déca Aspartame
** Libre **
Bière Local Sans Alcool
** Vivre Vivre Libre **
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23. |
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There’s too many informations
But so much ignorance
Cognitive saturation
Lost, in our dissonant minds
Life’s not all the same for everyone
We make our own truth, often looking for lies to feel secured
we are building ourselves one step at the time,
the one making it too fast will melt his soul
So many of the preachers are also the sinners
Judging each others; confined.
Sometimes just over guided
Confidence is just there to hide the emptiness
Cause any paths will take you to the same truth.
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24. |
Moonback Stage - WATB
04:52
|
|||
Ah so here we go again,
some people wanna look like Ben.
I'm walking all around the street, people start to stare at me
like a freak, like a freakin piece of red meat
Ah ! I don't want to talk too much about this
Had a little problem with my neighbor named Liz,
about Little Boy Jacob, tryin' to get some cake up,
but apparently was a simple overstatement .
Overstatement or not, it was a real rude shot
I can't believe that you did this unbeliavable plot.
It's time to end this, nonsense, when Ben gets fed up I'm a witness.
Little Jacob was walking down the street,
he found a pretty girl, named her sweet pea.
This man right here, he's genius, so serious he's oblivious
Ah ! I know that's a fact, make it fast, make him laugh, make it last.
Then Ben as a good man, put his black ten back to his backpack as a counter attack.
Ah ! What a confusion, allusion
Two black shapes it's an illusion, intrusion
Get your composure, stop your disclosure
get back together, stop playing with you're emotions
Come on Ben, you better end this
you're wasting too much time, you're getting reckless I think I'm done here, too bad for you
I'm sorry but I have to join the OP crew.
|
||||
25. |
||||
Fingrer hænger i de sidste scener
Det gør ondt der er flere problemer
En negl er løs de andre er væk
Min arm hænger i trævler
Min hud er brudt af knogler
En negl er løs de andre er væk
Min knuste hånd
Jeg ligger i flere dele
Min arm er over det hele
En negl er løs de andre er væk
Fingrer hænger i de sidste scener
Det gør ondt der er flere problemer
En negl er løs de andre er væk
|
||||
26. |
||||
État d’arrestation
« Veuillez garder le silence
Blablabla blablablablablablabla
C’est la loi »
Détournement de fonds
Trouble à l’ordre public
Abus de faiblesse
Ou revendre un peu de shit
Aménagement de peine !
Déménagement de haine !
Disposition malsaine !
État d’arrestation
« Veuillez garder le silence
Blablabla blablablablablablabla
Au quartier VIP »
Violence policière est un pléonasme
Mais traitement de faveur n’est pas un pléonasme
Justice pour tou.te.s
Dite impartiale
Sauf exception
Confirmant pas de règle
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27. |
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Not all streets are like Sesame Street
As long as cops will be so stupids
When you put your knee on his neck
Ignoring all the cries for help
You said it was an incident
You said he was in the wrong place
He said he cried I just can't breath
Recognize it's just your favorite crime
Not all streets are like Sesame Street
As long as cops will be so stupids
When you put your knee on his neck
Ignoring all the cries for help
You said it was an incident
You said he was in the wrong place
He said he cried I just can't breath
Stupid shit
Not all streets are like Sesame Street
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28. |
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29. |
||||
Classify, the ethnicities, prioritize.
”Civilization" might requires a lot of sacrifices.
Classify, on a mission. Prioritize, on a mission.
Should not the "natives" heal themselves of their natural savagery?
Can't they heal themselves of their natural savagery?
On a mission. We're on a mission.
Fight against sleeping sickness is the greatest of the French completions.
On a mission. We're on a mission.
Africans are eternal children who must be protected against their own vices.
Independence must be complacent. Until the eradication of the UPC.
On a mission. I'm on a mission. We're on a mission. On a mission.
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30. |
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We may have lost our wings
But we're still flying
We have shed, tears of blood
But we still trust in our ideas
Never crawl In the shadow of a god
Never have A leash around the neck
No Pledge of allegience !!
Our Minds are free as the birds carried by the wind
Moving forward against fear, threats and traps
The harbingers of spring will bring the hope
We may have lost our wings
But we're still flying
L.I.B.E.R.T.Y
Birds of Liberty
|
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31. |
Paüra - Tot va malament
03:09
|
|||
Vaig pensar un dia pel matí:
uns vermuts m’entraran bé,
ració doble si en vull més.
Reunió a la feina, i si pot ser,
parlar amb gent com si anés bé.
Un Jack Daniel’s al cafè.
La primera no entra bé,
si no en vénen quatre més,
qualsevol cosa menys un te.
Una pinta i un quintet,
un xarrup i un bon masclet,
ens faran passar la set.
I brindem pel carrer, la gent no ens mira bé.
Llumetes de colors, i un tiquet de color groc.
No sabem on anem, només que pinta bé.
Si ens queda un raconet seguirem bevent.
El que era pla, fa baixada...
El metge diu que no anem bé,
però aquí no hi vindrem mai més,
quedarem per beure o què?
Tatuï’ns el Trump al mig del front,
posi’ns cactus als collons,
però no ens prohibeixi l’alcohol.
Són les 6 del matí i el sol no vol sortir.
Demanem-ne una més abans d’anar a dormir.
Tot va malament, fem esses pel present.
Tot va malament, desdibuixem el que tenim en va...
Per celebrar!
|
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32. |
Powersolo - Psych Demons
02:54
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33. |
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34. |
Rotura - Siluetas vacías
02:49
|
|||
Estás buscando un lugar que es imposible encontrar
Miras por todos lados
y ves que ya no existe
Esa sensación de soledad que ya no puedes controlar
Y no encuentras tu lugar, estás perdida
Siluetas vacías caminando por la ciudad
Construyendo relaciones que carecen de afectos.
Estás buscando un refugio para protegerte
Pero los cuidados son, son solo una palabra más
Esa sensación de soledad, que ya no sabes si es real
Y no encuentras tu lugar,
sigues perdida.
Siluetas vacías caminando por la ciudad
Construyendo relaciones que carecen de afectos.
Las decepciones que nos llevamos con personas cercanas amargan aún más nuestro día a día. En general, vivimos muy deprisa y no nos dedicamos el tiempo suficiente las unas a las otras. Echamos de menos el sentimiento de comunidad, el hacer las cosas por todas y para todas no solo por y para una misma, el compartir, el apoyo mutuo, el no querer ser más que los demás. Es por eso que nos ha salido esta letra; porque a veces (por suerte no siempre) sentimos que no encajamos en el lugar donde estamos y nos sentimos solas.
EMPTY SILHOUETTES
You are looking for a place that is impossible to find
You look everywhere
and see it doesn´t exist anymore
This feeling of loneliness you can not control
And you can´t find your place, you are lost.
Empty silhouettes walking through the city
Building relationships lacking affections.
You are looking for a shelter to protect yourself
But carings are just one word more
This feeling of loneliness you don´t know if it´s real
And you can´t find your place,
You keep lost.
Empty shapes walking through the city
Building relationships lacking affections.
Disappointments we have with close people sour our day-to-day. Generally speaking, we live very fast and we don´t dedicate enough time to each other. We miss the feeling of community, doing things all together and for all and not just by and for one´s self, sharing, the mutual, not to want to be more than the others. This is why this lyrics came out, because sometimes (not always, luckily) we feel we don´t belong to the place where we are and we feel alone.
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35. |
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36. |
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37. |
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38. |
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Baja el movil por favor,
no queremos que grabes nuestra canción.
Coches caros y hasta un avión.
Cena en New York, invita nuestro productor.
Limusinas, rayas en el callejón.
Gremlins borrachos. Fantasmas vestidos de COPs.
Esto es una multinacional, chaval.
Tus sueños rotos, a la calle a luchar.
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39. |
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N'oublie jamais
(L. Cadiou / F. Le Roux)
Dix ans d'exil, loin des yeux, loin du cœur
Dix ans d'exil, d'autres lieux, d'autre cieux
Le cœur en peine sur les bords de Seine
Moisir ici c'est s'ouvrir les veines
Dix ans d'une vie dans l'attente et l'absence
Dix ans d'une vie, sans issue ni retour
J'ai gravé ces lettres à jamais dans ma chair
Je n'ai jamais renié cette ville que j'ai quittée
N'oublie, n’oublie, n'oublie jamais
Cette ville qui t'as vu naître
N'oublie, n’oublie, n'oublie jamais
C'est ici que tu finiras
Dix ans d'exil, loin des siens, loin de Siam
Dix ans d'exil, d'autres villes, d'autres rues
Le regard vide sur les quais du métro
Mourir ici c'est trahir son quartier
Dix ans d'une vie, dans l'oubli, dans l'ennui
Dix ans d'une vie, sans présent, ni futur
J'ai gardé en mémoire nos plus belles années
Je n'ai jamais renié cette ville que j'ai quittée
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40. |
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41. |
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42. |
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43. |
Losing Control Tours, France
Radio program about punk music since 2019. Broadcast in Radio Béton (Tours, France), Rock in Bierzo (Ponferrada, Spain), Sol
y Rabia Radio (Spain) and Bolsje Radio (Copenhagen, Denmark).
We love punk music. We hate fascism, racism, homophobia, sexism, virilism and any kind of oppression.
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